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LE FIGARO 25-07-2011:L'agence de notation Moody's a dégradé la note de la Grèce à un cheveu du défaut de paiement. Manquant de détails pour juger correctement le cas grec, elle envisage toutes les possibilités pour les prochaines semaines.
image jpg Reuters relève de la garde des Evzones Athènes
L'EXPANSION :Zone euro
L'Expansion.com - publié le 29/04/2010 à 15:41
À l'heure où la crise de la zone euro s'accentue avec les risques de contagion au Portugal et peut-être à l'Espagne, L'Expansion revient en quelques points sur les grandes questions soulevées par le vent de panique grec. Notre dossier.
La Grèce, maillon faible de la zone euro
Pourquoi la Grèce n'est pas encore tirée d'affaire
L'UE et le FMI s'engagent à prêter rapidement des fonds à la Grèce, comme l'a demandé son Premier ministre Georges Papandréou. Mais l'Allemagne freine encore des deux pieds. Les marchés doutent toujours de la capacité de péninsule hellénique à restaurer ses finances publiques et s'inquiètent d'une contagion au Portugal.
Pourquoi les marchés renforcent la pression sur la Grèce
Le déficit de la Grèce est plus lourd que prévu. Les taux d'intérêt auxquels le pays emprunte s'envolent. L'hypothèse d'une banqueroute est de plus en plus évoquée. Les explications de Magda Branet, stratégiste chez Axa IM.
La Grèce va-t-elle finir comme l'Argentine?
Neuf ans après avoir fait défaut, l'Argentine lutte encore pour restructurer sa dette et retrouver sa crédibilité auprès des marchés financiers. La Grèce est-elle partie pour l'imiter? Les parallèles entre les deux pays ne sont pas rassurants.
Et si la Grèce faisait faillite...
ll n'y a pas de plan de sauvetage. Voilà ce que répétaient en boucle, en janvier dernier, les dirigeants européens. Mais l'état critique des finances publiques de la péninsule hellénique pourrait bien obliger ses partenaires à intervenir. Etat des lieux.
Le plan de sauvetage de la Grèce
Huit raisons de ne pas célébrer le sauvetage de la Grèce
Crise grecque : un plan à 15 milliards
a facture est salée : 15 milliards d'euros d'ici à 2014. C'est le coût pour la France et donc pour les contribuables du plan d'aide à la Grèce. Ce chiffre a été avancé hier par François Fillon et recouvre « une augmentation de notre niveau d'endettement, compte tenu de l'intégration des garanties, à hauteur d'environ de 15 milliards. » Le gouvernement prévoit que la dette publique continuera de progresser cette année et l'an prochain (85,4 % fin 2011 et 86,9 % fin 2012) et commencera à baisser en 2013 pour atteindre 86,4 % fin 2013 et 84,8 % fin 2014. Il faudra donc procéder à un réajustement. Fillon a annoncé que le nouveau plan de soutien à la Grèce allait nécessiter une nouvelle loi de finances rectificative qui sera présentée à la rentrée au Parlement.« Cet accord marque une étape absolument décisive dans l'histoire de la zone euro », a estimé François Fillon. « Il n'y aura pas de faillite d'État dans la zone euro parce que la solidarité de la zone euro sera totale. » Mais les conséquences de cet accord devraient inciter la France à maintenir plus que jamais l'étau de la rigueur. L'objectif de la France de ramener son déficit public en dessous de 3 % du Produit intérieur brut (PIB) en 2013 « doit être atteint », a rappelé le Premier ministre.
BFM TV
L’aide à la Grèce pèse sur la dette française
Les français vont devoir donner 15 milliards à la Grèce pour que ces derniers payent leurs dettes. Mais évidemment, tout le monde sait, que ce n'est qu'un début, et qu'il faudra de nouveau remettre la main à la poche. Résultats, des hausses d'impots verront le jour, ainsi que des augmentations de taxes, de tva, des baisses de salaires etc. En route vers la misère !
LE FIGARO
Le gouvernement grec n'a pas caché son soulagement. Mais le risque d'une nouvelle explosion sociale fait partie du challenge du gouvernement Papandréou.
Le nouveau plan de sauvetage de la Grèce aura comme «conséquence indirecte» pour la France une augmentation de son endettement d'environ 15 milliards d'euros d'ici 2014, selon François Fillon.
» Baroin et Pécresse saluent le plan pour la Grèce
L'appréciation de l'accord européen varie de la condamnation d'un plan de sauvetage arrivé trop tard à la dénonciation d'un «colmatage» sans lendemain.
Quinze milliards d'euros, c'est ce que coûtera à la France le nouveau plan d'aide européen à la Grèce, selon François Fillon. Le Premier ministre présente ce coût comme une « conséquence indirecte » de l'accord trouvé à Bruxelles.
Le deuxième programme de sauvetage pour la dette grecque est désormais connu dans ces principaux termes. Un défaut de paiement partiel du pays n'est plus exclu alors que l'introduction d'une taxe bancaire aux pays de l'UE pour aider la Grèce, envisagée par la France notamment, n'e
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