situées en face des côtes sénégalaises) aurait bien pu contenir dans ses soutes des missiles sol-air S 300 provenant de russie et que des mafieux russes complices de militaires destinaient à l'Iran...c'est en tous cas ce que révèlait vendredi 4 septembre 2009, le quotidien autrichien "Salzburger Nachrichten".Le correspondant du journal à Jérusalem a cité des "sources israëliennes bien informées et ayant de bons contacts avec les services secrets occidentaux", ces sources affirment que ces missiles auraient été chargés sur le navire vraquier au début de l'été dans le port Russe de Kaliningrad...
Cette information si elle était confirmée expliquerait pourquoi la Russie avait mis autant d'ardeur à suivre ce navire et à récupérer puis interroger son équipage avec des moyens en hommes et matériels assez exceptionnels pour un chargement de bois; nombreux furent les observateurs avisés à s'interroger sur les dessous de cette rocambolesque affaire...pour une cargaison aussi banale.
Des experts du transport maritime interviewés à l'époque parlaient de matériaux nucléaires ou de matériels de guerre; auraient-ils vu juste?Probablement!
Une information qui pourrait confirmer cette cargaison de missiles à bord est encore communiquée par le journal autrichien: lorsqu'il a fallu prendre en charge les membres de l'équipage qui avaient été transférés de l'Arctic Sea sur l'ile de Sal (Cap Vert), la Russie a envoyé de grands avions cargos...pour récupérer les 14 membres d'équipage et les 8 pirates. Etonnant, un tel déploiement d'avions cargos pour 22 personnes!
Quant à la visite impromptue de Shimon Peres à Moscou le 19 août 2009, elle serait due à cette affaire de missiles de l'Arctic Sea toujours selon le journaliste autrichien. A cette occasion, Israël aurait fourni à la Russie les "preuves concrètes" que l'Iran et la Syrie "fournissaient des armes au Hamas et au Hezbollah".
Ce sont les services secrets d'un "pays occidental" qui auraient fourni l'information à la Russie, celle-ci ayant pris la décision d'intercepter le navire qui transportait ces missiles russes; des militaires de ce pays étant visiblement complices de la mafia pour ce contrat avec l'Iran.
Sources: "Salzburger Nachrichten"et agence Reuters
Images jpg AFP-RFI-IDE et ci-dessous:
Un militaire russe escorte l'un des huit pirates présumés de l'Arctic Sea débarqués à Sal au Cap Vert, le 19 août 2009 © AFP Ricky Lopez-MOSCOU (AFP) - Onze des 15 membres d’équipage et les huit pirates présumés du cargo Arctic Sea, dont la disparition fin juillet avait suscité une mobilisation internationale, ont atterri jeudi à Moscou à bord d’avions militaires russes en provenance du Cap-Vert, rapportent les agences russes.
Deux Iliouchine 76, l’un avec les membres d’équipage, l’autre avec les huit pirates présumés, ont atterri à 10H40 (06H40 GMT) et 11H00 (07H00 GMT) à l’aéroport militaire de Tchkalovski, dans la banlieue de Moscou.L'épopée de l’Arctic Sea s’est terminée, apparemment sans violence, mais dans le plus grand secret.
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"vaisseau fantôme" ou acte de piratage, le cargo "arctic sea" a disparu
The Arctic Sea mysteriously disappeared off the coast of France on 1 August 2009 Sunday Times
A CARGO ship that vanished in the Channel was carrying arms to Iran and was being tracked by Mossad, the Israeli security service, according to sources in both Russia and Israel.
The Arctic Sea, officially carrying a cargo of timber worth £1.3m, disappeared en route from Finland to Algeria on July 24. It was recovered off west Africa on August 17 when eight alleged hijackers were arrested. The Kremlin has consistently denied that the vessel was carrying a secret cargo. It claims the ship was hijacked by criminals who demanded a £1m ransom.
The official version was challenged by sources in Tel Aviv and Moscow who claimed the ship had been loaded with S-300 missiles, Russia’s most advanced anti-aircraft weapon, while undergoing repairs in the Russian port of Kaliningrad.
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MOSCOU, 26 août - RIA Novosti. La cargaison du navire Arctic Sea pose toujours une énigme, affirme le président du Comité d'enquête auprès du Parquet de Russie Alexandre Bastrykine. Le ministère russe des Affaires étrangères avait antérieurement déclaré qu'il n'y avait pas d'objets suspects à bord du cargo. Néanmoins, l'Arctic Sea fera l'objet d'une inspection minutieuse, car selon les médias, il pouvait transporter des armes de contrebande. Dans une interview à la Rossiïskaïa Gazeta publiée mercredi, M. Bastrykine a déclaré ne pas exclure l'hypothèse selon laquelle "le cargo ne transportait pas que du bois". Dans ce cas, la complicité de l'équipage du navire est à établir. Quant au navire lui-même, il pourra constituer une pièce à conviction. Dans ce cas, il sera confisqué, a indiqué le président du comité d'enquête.
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