Expo Van Gogh au Kunstmuseum de Bâle (Suisse) en 2009
En fin d'article, voir les avis presse mise à jour du 12/05/09
d’Europe en 2009
http://www.vangogh.ch/fr.html
Qu'en dit la presse?
Le Kunstmuseum de Bâle ne mâche pas ses superlatifs. Préparez-vous, nous intime-t-il depuis des mois, ce sera «l’événement phare de la culture européenne en 2009». «Une exposition unique au monde», renchérit son directeur, Bernhard Mendès Bürgi.
Bien sûr, 70 des plus beaux tableaux de Van Gogh – probablement le peintre le plus populaire et mythique de tous les temps, en même temps que l’un des plus chers sur le marché aujourd’hui – y seront réunis dès le dimanche 26 avril pour le plus grand bonheur de très nombreux visiteurs. Mais qu’est-ce donc qui fait que cette rétrospective s’annonce si exceptionnelle, spectaculaire et inédite?
LA TRIBUNE DE GENEVE
Rien ne vaut une franche et massive autocélébration. Depuis un an, le Kunstmuseum de Bâle fait savoir qu’il organise, avec l’aide financière d’UBS, «l’événement culturel européen de 2009». La prélocation des billets a ainsi pu commencer l’an dernier. Que ne ferait-on pas pour voir Van Gogh, Entre ciel et terre, Les paysages?
On parle aujourd’hui depuis si longtemps de l’événement qu’il donne l’impression d’aller sur sa fin, alors qu’il n’a même pas commencé. C’est bien demain dimanche 26 avril que les portes de l’institution s’ouvriront, au second étage, sur 70 œuvres installées de manière clairsemée sur des murs trop blancs. Il ne faut en effet pas oublier, à notre époque vouée au gigantisme pictural, que le Hollandais (1853-1890) n’a peint que de petits, voire très petits tableaux!
LE FIGARO
04/05/2009 | Mise à jour : 10:29 Lien article:http://www.lefigaro.fr/culture/2009/05/04/03004-20090504ARTFIG00321-une-splendide-exposition-.php
À Bâle, une réunion de soixante-dix toiles reconstitue plusieurs des fameuses séries de l'artiste.
Jaune intense des blés, vert argenté des oliviers. Et cette nature finalement saturée de flammèches folles ! L'essentiel de la trajectoire fulgurante de Van Gogh est là, à Bâle, en 70 tableaux de paysage et aussi quelques portraits avec lesquels il aimait briser le rythme effréné de sa création.
Car le Hollandais travaillait par séries. Comme un Balzac ou un Zola de la peinture, il entendait épuiser ses sujets. Ils étaient aussi immatériels qu'évanescents : cycle des saisons, heures du jour, atmosphère d'un terroir, d'une ville, d'un village, voire d'un jardin.
Ainsi, dans ses lettres à Théo, son cher frère, il parle de suites ou même de triptyques - un terme à prendre dans un sens nouveau, autre que celui du retable d'église, mais toutefois également chargé de spiritualité.
Le Kunstmuseum réunit très largement quelques-uns de ces plus fameux ensembles. D'abord les plus sombres, ceux de la jeunesse. Puis les toits vus de Montmartre. Et surtout la série des bords de Seine à Clichy (1887), celle sur l'île de la Grande Jatte (1887), la moisson en Provence (1888), le parc de l'hôpital Saint-Paul (1889), la forêt d'oliviers (1889) ou encore les vues d'Auvers (1980).Lire la suite en utilisant le lien en haut de l'article
ET LIRE EGALEMENT UN AUTRE ARTICLE DU FIGARO:http://www.lefigaro.fr/culture/2009/05/04/03004-20090504ARTFIG00328-revelations-sur-l-oreille-coupee-de-van-gogh-.php
Autoportrait de Van Gogh. ((1887/88) (AFP/Van Gogh Museum) Crédits photo : AFP
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