Cette fusion des deux constructeurs automobiles pourrait donner naissance au troisième plus grand groupe automobile mondial...oui mais!
Mais mais, avec raison, les syndicats sont méfiants concernant le possible impact sur l'emploi...ce type de démarche cré rarement des emplois et c'est plutôt le contraire qui se produit.
Le ministre Le Maire en gros capitaliste est toujours pour...
Mais que va faire Renault dans cette galère, à part y laisser des plumes?
Après la déconvenue dans le cadre de l'alliance Renault-Nissan, le constructeur Français qui n'a pas eu "d'impact positif sur les volumes de production et donc sur l'emploi en France".
Dans un article du jour, Franceinfo dit qu'avant de se marier, mieux vaut connaître la santé financière de son futur partenaire.
Et la presse faisait état ces derniers jours de doutes concernant le groupe italo-américain FCA...alors prudence!
"Le groupe Fiat est en grandes difficultés industrielles et souffre d'une incroyable et très handicapante panne stratégique, analyse le quotidien économique La Tribune.
Dans un contexte de ralentissement économique, le groupe est très mal placé avec ses gammes vieillissantes et son manque d'investissement chronique en technologies."
Et en plus, la mariée n'est pas belle...c'est dire si il y a des risques.
Nissan, muet, encaissait le coup lundi après l’annonce d’un projet de fusion entre son partenaire français Renault et l’italo-américain Fiat Chrysler (FCA): la pilule est amère pour le constructeur japonais, embarqué à son insu dans ce mariage.
“Nous sommes toujours ouverts aux discussions constructives pour renforcer l’alliance”, a laconiquement déclaré le patron du groupe, Hiroto Saikawa, tentant de faire bonne figure face aux journalistes qui l’interrogeaient sur le pas de sa porte...