
"Le Professionnel" avec Jean-Paul Belmondo dans le rôle principal LUNDI 13 JUILLET 2020 FRANCE 3 à 21H10
Sorti en 1981, durée 108 minutes
Résumé long par Wikipédia:
Un excellent agent des services secrets français, Josselin Beaumont

est envoyé au Malagawi (pays représentant les anciennes colonies françaises en Afrique à l'aube des années 1980), pour y abattre le président à vie du pays, le colonel N'Jala, dictateur et ennemi des intérêts français.
Mais, la situation politique ayant changé, les services secrets français n'ont plus intérêt à faire abattre N'Jala et, plutôt que de
simplement rappeler Beaumont, le dénoncent au président N'Jala, sur ordre de l'Élysée.
Au terme d'un procès expéditif où il est drogué pour passer aux aveux, Joss est condamné aux travaux forcés.
Au bout de 2 ans d'esclavage, sévices, souffrances, et tortures

multiples, il s'évade et rejoint Paris avec une seule idée en tête, se venger de ses supérieurs en accomplissant sa mission initiale : abattre N'Jala, en profitant d'un voyage diplomatique de celui-ci en France.
Avisée par lui-même de son projet, l'ancienne hiérarchie de Josselin Beaumont commence à passer des nuits blanches.

Le colonel Martin et son équipe vont tout mettre en œuvre pour « stopper » Beaumont.
Celui-ci nargue ses anciens collègues en naviguant entre son ancien domicile, où il retrouve sa femme, et celui de sa maîtresse, Alice, membre des services secrets.
Le redoutable commissaire Rosen, de la Brigade de Répression et

d'Intervention, malgré des méthodes effroyables doublées d'une haine et d'un mépris farouches envers Beaumont, échouera dans sa traque et sera abattu par Beaumont.
Faisant croire à sa mort en attribuant son identité à Rosen, il prend en otage l'inspecteur Farges, venu à la morgue identifier le mort, et réussit ainsi à arriver

jusqu'à N'Jala, abrité au château de la Ferrière, dans les Yvelines.
Un tour de passe-passe : Joss donne son revolver vide à N'Jala et l'attire vers la fenêtre.
Ce dernier ne peut pas s'empêcher de le pointer sur Joss.

Farges, croyant que c'est Beaumont qui tient le revolver, abat le président.
Alors que Beaumont s'apprête à quitter les lieux en hélicoptère, le ministre, pressé par le colonel Martin, donne finalement l'ordre de le « stopper ».
Martin transmet cet ordre à Farges, qui abat Beaumont d'une rafale dans le dos.


Lire la suite