
A force de jouer les ânes, d'être toujours dans l'excès, le prime minister Britannique, c'est tiré une balle dans le pieds, une de plus
me direz vous.
Ses menaces récurrentes envers les parlementaires de son parti lui ont fait perdre sa faible majorité car, de nombreux députés qui le soutenaient lui on retiré leur soutien...
Résultat, à partir de maintenant il ne maîtrise plus l'agenda du travail des dits parlementaires.

Son chantage n'a de fait, plus aucune prise sur la suite des affaires du gouvernement.
Il menace encore de démissionner pour que soient organisées de nouvelles élections qu'il ne gagnera forcément pas. Boris Johnson le premier ministre du Royaume Uni, est "out" politiquement.
Fini les délires alambiqués auxquels il nous a habitués.
Il n'y aura donc pas de Brexit sans accord, dans la mesure ou cette option de divorce UE/RU est toujours valide...?
On sait que les sondages donne actuellement une majorité dans le Royaume, contre le Brexit pour lesquels les britanniques ont été trompés lors de la campagne qui s'y rapportait.
S'agissant de l'organisation d'élections législatives anticipées, là aussi une menace de Johnson, il est également coincé car, pour ce faire, il lui faut réunir les 2/3 du parlement dont, dit-on, Nicholas Soames, le petit fils de Winston Churchill n'a pas suivi le premier ministre et ça n'est pas rien en Grande-Bretagne.
LE HUFFPOST:
Le député conservateur Phillip Lee a quitté son camp pour rejoindre les bancs de l'opposition au Parlement en plein discours du Premier ministre.
La crise politique en Grande Bretagne s’est bel et bien confirmée ce mardi 3 septembre. Alors que #BorisJohnson donnait un discours devant le Parlement britannique, un député de son camp conservateur a rejoint les bancs de l'opposition sous ses yeux. #Brexit