Maj Septembre 2014
Mise à jour sept.2014 Le navire BPC "Vladivostok" à l'essai à St-Nazaire...
Image de gauche Le Mistral, image de droite le Vladivostok, ce dernier dont la mise à disposition de la Marine Russe est reportée... Article relatif au MISTRALle 1er mai 2014: 400 marins russes sont attendus dans la ville portuaire de Saint-Nazaire en Loire Atlantique dès le 1er juin prochain...Lire l'article de France TV info BlogOuvert le 4 septembre 2014, complété le 05-09-2014. Pressée par ses partenaires de l'OTAN, américains, anglais et lituaniens, entre-autres, la France a décidé de surseoir à la livraison […]
Voir la vidéo de France TV info sur l'arrivée des marins russes à Saint-Nazaire
VIDEO FRANCE TV ESCALADE EN UKRAINE
14-04-2014: N'arrivant ps à imposer à l'Ukraine qu'elle fasse allégeance à la Russie, Poutine continue sa conquête dans les territoires ukrainiens peuplés de russophones. L'agitation actuelle dans ces régions est largement organisée par l'actuel président russe (ex membre du KGB). Qui demande l'intervention de l'ONU pour jouer les pompiers de service après que lui, ait allumé l'incendie dans les régions de Donetsk et Slaviansk mais aussi de Kharkiv. Facile!
Qui pouvait croire que celui-ci allait se limiter au cas de la Crimée...
Et encore, ça n'est pas fini puisque, après l'Ukraine, où celà continue et comme nous l'écrivions le 21-03-2014:
"Mais il est probable que Poutine n'a pas dit son dernier mot quant à ses revendications de la sphère d'influence dans d'autres pays riverains, le prochain sur la liste pourrait être la Moldavie et plus spécifiquement, la Transnistrie qui, là aussi, est en majorité peuplée de russophones et dont l'autonomie a été décrétée unilatéralement localement...
Un risque identique pour une autre région moldave, la Gagaouzie.
Cette dernière ayant semble t-il souhaitée se réunir à la Russie, un chantage possible que Poutine mettrait en avant pour conserver son influence sur la Moldavie. Ce dernier pays ayant lui aussi l'intention de se rapprocher de l'U.E. et de rejoindre l'OTAN."
Commentaire:Comment ne pas comprendre que ces anciennes Républiques soviétiques aspirent à plus de démocratie que ce qui se pratique actuellement en Russie?
image ci-dessus combattant pro-russe armé par Moscou qui se croit encore dans la période soviétique
La Russie laisse entrevoir une sortie de crise en Ukraine négociée avec les Occidentaux<
monde Le Kremlin a confirmé l’appel téléphonique en ce sens de Vladimir Poutine à Barack Obama.
La Russie a laissé entrevoir samedi la possibilité d’une sortie de crise négociée avec les Occidentaux en Ukraine, passant par une fédéralisation de l’ex-république soviétique, et a exclu toute nouvelle intervention après la prise de la Crimée.
Le Kremlin a confirmé l’appel téléphonique de Vladimir Poutine à Barack Obama, annoncé la veille au soir par la Maison Blanche. Le président russe y a appelé son homologue à étudier « les mesures que peut prendre la communauté internationale pour coopérer en vue d’une stabilisation ».Lire ls suite sur LE SOIR (Belgique)
27-03-2014
A NEW-YORK, l'Assemblée générale de l'O.N.U. a adopté, le jeudi 27 mars 2014, une résolution non contraignante qui dénonce le référendum en Crimée et le rattachement de la péninsule à la Russie. Qui était pour, qui était contre et qui, lâchement, c'est abstenu...
- 100 voix pour! Les Etats-Unis et leurs alliés européens, arabes et asiatiques
- 11 voix contre! La Russie, la Biélorussie, la Corée du Nord, l'Arménie, Cuba, le Nicaragua, le Venezuela, la Bolivie, le Zimbabwe, le Soudan et la Syrie
- 58 pays se sont abstenus! Parmi lesquels figurent, la Chine, l'Argentine, le Brésil, l'Inde, le Pakistan, l'Egypte, le Sénégal, le Gabon ou encore l'Afrique du Sud
23-03-2014
Des blindés russes ont pris d'assaut deux bases militaires ukrainiennes en Crimée.
L'opinion publique russe soutient largement le rattachement de la Crimée à Moscou. Francetv info s'est penché sur les idées et les arguments qui sous-tendent la vision russe du conflit.
21-03-2014
Au 20 mars 2014, la France suspend la coopération militaire avec la Russie selon l'annonce du ministre de la Défense, Jean-Yves Ledrian, une coopération qui comprend "les échanges de visites et les exercices conjoints" des deux armées. Toutefois les contacts demeurent afin de respecter les engagements internationaux a précisé l'entourage du ministre.
Si la menace de réexaminer la livraison des navires de la classe des Mistral a été évoquée par le Quai d'Orsay, nous n'en sommes pas là à ce jour.
Aller jusqu'à cette extrémité créerait à coup sûr une situation compliquée pour le constructeur des navires basé à Saint-Nazaire, les deux unités en cours d'achèvement qui devraient être livrées prochainement, après que les marins russes auront été formés à l'utilisation des deux exemplaires de la classe du Mistral.
Des matériels très sophistiqués dont la vente des deux exemplaires supplémentaires à livrer implique aussi un transfert de technologie pour la fabrication en Russie des deux navires du même type.
Il est certain que les américains voient d'un mauvais oeil la livraison des matériels en question et le complément du volet de transfert de technologie...
D'autant que notre pays ne peut pas se permettre de tirer un trait sur un montant de contrat de 1,2 milliards d'€. Et puis en tant que fabricant et vendeur de matériel de guerre, celà risquerait de décourager d'autres éventuels acheteurs. Une mauvaise image, ce refus de vente ne sera certainement pas!
Heureusement pour l'Europe, pour l'Ukraine et pour les suites éventuelles, les sanctions économiques contre la Russie donnent des résultats probants...
Le 17 mars dernier, le ministre adjoint russe de l'Economie, Monsieur Sergueï Beliakov, a admis, et ce pour la première fois, que l'économie de son pays était en difficulté.
"La situation économique montre clairement des signes de crise", aurait-t-il déclaré lors d'un séminaire d'entreprises mais sans évoquer ostensiblement les conséquences des tensions actuelles liées à l'Ukraine et à la Crimée...lire l'article de l'agence Reuters
image jpg accueil d'une délégation ukrainienne par François Hollande aidée par Bernard-Henri Lévy
Par ailleurs l'Ukraine par son premier ministres actuel Arseni Iartseniouk, a signé le 21 mars 2014, dans la capitale Belge, le volet politique d'un accord d'association entre son pays et l'Union Européenne pour la création d'une grande zone de libre-échange, au grand dam du président Poutine.
Il avait fait pression sur l'ancien président ukrainien Ianoukovitch afin que cette signature soit reportée au dernier moment.
De plus, l'UE va aider l'Ukraine économiquement afin qu'elle puisse faire face à l'interruption de livraison du gaz russe.
Finalement en agissant au mépris de l'Ukraine et de la Communauté Européenne, Poutine n'a fait qu'accélérer la signature U.E.-Ukraine tant redoutée par celui-ci.
Prochaines étapes pour la Russie de Poutine?
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La prochaine étape du bras de fer entre l'Europe et la Russie, pourrait être une autre région d'Ukraine et ses pro-russes de Donetsk et Kharkiv qui demandent, s'agissant pour l'instant de Donetsk, un référendum d'auto-détermination...mais à Kharkiv, des échauffourées ont eu lieu de la part des pro-russes (probablement orchestrés par Moscou).
(voir la situation en Ukraine sur carte ci-dessus)
Et aussi à la rentrée 2014, l'entrée de la Géorgie dans l'OTAN, un pays avait lequel Poutine s'était déjà mal conduit en 2008 en intervenant unilatéralement sur une partie de son territoire majoritairement peuplée de russophones.
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Mais il est probable que Poutine n'a pas dit son dernier mot quant à ses revendications de la sphère d'influence dans d'autres pays riverains, le prochain sur la liste pourrait être la Moldavie et plus spécifiquement, la Transnistrie qui, là aussi, est en majorité peuplée de russophones et dont l'autonomie a été décrétée unilatéralement localement...
Un risque identique pour une autre région moldave, la Gagaouzie.
Cette dernière ayant semble t-il souhaitée se réunir à la Russie, un chantage possible que Poutine mettrait en avant pour conserver son influence sur la Moldavie. Ce dernier pays ayant lui aussi l'intention de se rapprocher de l'U.E. et de rejoindre l'OTAN.
Ci-dessus carte de la Moldavie et en rouge, les régions où des revendications se font jour avec l'aimable concours de Poutine.
MAJ Article relatif au MISTRAL par Blog Ouvert le 21-03-2014: Depuis les problèmes liés au référendum et à la décisionde la Russie de rattachée la région ukrainienne de Crimée, se pose la question de savoir si les navires de la classe du Mistral doivent être livrés comme prévu à ce pays qui vient d'annexer un territoire voisin; ces bâtiments doivent être remis à sa marine prochainement dès que la formation de ses marins, assurée dans l'hexagone, sera achevée . Un autre problème lié à ces ventes est que deux des navires doivent donner lieu à un transfert de technologie et à la construction […]
09-03-2014:La Communauté internationale, dont la France et les Etats-Unis, réagissent avec vigueur contre l'intervention récente de la Russie et sont sur le points d'annoncer de nouvelles mesures de rétorsion...il faut se souvenir que lors de la période ou la Russie et l'Ukraine étaient dans l'URSS, de nobreux russes sont venus s'installer dans la région d'Ukraine, et c'est bien ce qui pose problème, aujourd'hui. Humainement, la situation est compréhensible mais le grand voisin de l'Ukraine est en train de déposséder ce pays d'une Crimée qui est légitimement, une partie du territoire ukrainien.
En clair, il ne peut pas organiser un référendum en sous-main pour spolier une partie d'un territoire qui n'est pas la Russie...En plus la nouvelle Russie détient des droits sur l'utilisation du port de Sébastopol, une facilité accordée lors de l'indépendance des anciennes Républiques Soviétiques. Pour Poutine cette installation est stratégique pour sa flotte! Ce qui ne facilite pas les possibles négociations. D'où la dernière décision russe d'envoyer des militaires russes à Simferopol.
image de ces militaires en haut d'article.
Et l'homme n'est pas du genre a faire dans la dentelle.
FRANCE TV info en live:DIRECT<
#UKRAINE Les observateurs de l'OSCE font demi-tour à l'entrée en Crimée après des tirs de sommation, rapporte l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe.
-Ukraine : 20 000 militaires russes stationnent en Crimée, estime le Pentagone<
-VIDEO. Vitali Klitschko : "Le référendum en Crimée est joué d'avance"<
Après avoir pris le contrôle de la Crimée, la Russie lance un ultimatum aux forces ukrainiennes positionnées dans cette région autonome du sud de l'Ukraine, lundi 3 mars. Moscou les appelle à se rendre. Côté diplomatie, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, annonce qu'un Conseil européen sur la situation en Crimée devrait avoir lieu avant la fin de la semaine et prévient que des mesures seront prises contre la Russie s'il n'y a pas de "désescalade".
Cliquez ici pour plus d’informations
L'UE pourrait aider financièrement l'Ukraine pour éviter la faillite<<
Lien direct sur FRANCE 24 sur site blog J.Barthet infos manifestations qui dégénèrent à Kiev<<<<
La Rue toujours mobilisée contre Ianoukovitch
Mardi
29-01-2014: Le premier ministre, Mykola Azarov, a démissionné hier 28 janvier, considérant que l'intérêt du pays passait avant le sien. Par ailleurs les lois d'exception en vigueur depuis les manifestations, elle sont désormais abrogées...Il est clair que le pouvoir est en mauvaise posture et il lâche du lest. Azarow a déclaré «J'ai pris la décision de demander au président d'accepter ma démission du poste de Premier ministre pour créer les conditions supplémentaires d'un compromis politique et d'un règlement pacifique du conflit». Vitali Klitschko, un ancien boxeur a déclaré que c'était un premier pas vers la victoire.
Les manifestants occupent désormais le bâtiment du ministère de la Justice.
Poutine le grand démocrate russe a critiqué l'ingérence de la Communauté Européennes dans les affaires intérieures de l'Ukraine...
Dim. 26-01-2014:Si l'opposition au président Ianoukovitch, sortant a refusée les dernière proposition du-dit président, ses leaders continuent à discuter avec lui. Comme le faisait remarquer justement, le Monde cette proposition présidentielle est un cadeau empoisonné.
L'objectif des opposants, est que Ianoukovitch démissionne et les laissent gérer et diriger le pays. C'est un président chancelant, qui paie sa soumission à la Russie du président Poutine et qui n'a pas tenu ses engagements d'ouverture en direction du Monde Libre, de la Communauté Européenne, pas plus que ses promesses faites à ses électeurs.
Ca, Poutine ne le voulait pas, pas qu'il y ait aux portes de son pays un pays ayant une organisation politique démocratique, en bon autocrate qu'est le président russe actuel.
Ce dernier considère que l'Ukraine est un pays satellite de la Russie et il s'accroche bec et ongle à sa conception de la liberté dans les anciens pays membres de l'ex URSS. En attendant, il a mis le pays voisin, dans une impasse. Et maintenant, on ne l'entend plus...
Les Républiques Baltes ont réussies à sortir de l'orbite de Moscou, mais pour l'Ukraine, ce sera moins aisé.
L'opposition exige comme préalable aux discussions que les lois qui portent atteinte aux libertés d'expression et de manifestations soient abrogées...elle s'attend à des défections du parti du président, le Parti des régions afin de faire voter contre ses lois au parlement de Kiev.
Que fait l'UE?
Elle est bien embêtée et ne peut pas s'ingérer dans les affaires intérieures de l'Ukraine.
De fait, José Manuel Barroso aurait pris contact avec Ianoukovitch, en proposant que l'UE agisse pour faciliter un dialogue entre le président et les opposants.
Vidéo actu de BFM TV 25-01-2014:
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