Pauvre Medef, qui ne représente que lui même et pas l'ensemble des entrepreneurs français, loin s'en faut. Heureusement pour eux!
Aux universités d'été de son organisation et recevant le britannique David Lidington, Roux de Bézieux nous la joue tremblez si c'est le "hard Brexit" qui triomphe, espérant probablement influencer les négociateurs européens qui n'en n'ont rien à faire que le petit Medef français se sente pousser des ailes...d'autant qu'il n'a pas grand chose à dire dans cette négociation mis à part son éternelle litanie sur les pauvres entrepreneurs mal aimés par les français et leurs politiques.
Le Brexit est une volonté du Royaume-Uni de se replier sur lui même, rien de neuf de ce côté là , c'est son problème
car pour lui l'Europe n'est qu'un grand marché où il souhaite continuer à vendre sans en être un des membres et surtout sans délier sa bourse, et ça n'est pas d'aujourd'hui.
Il y a une règle et, elle est la même pour tous: un pays qui quitte l'UE ne peut pas continuer à y faire son petit marché quand ça l'arrange et bénéficier d'un taux de TVA très bas et de tous les avantages que n'aurait plus la "CITY" sans son "passeport financier " européen sur les placements !
Une autre consultation de la population Britannique est toujours possible, et c'est de la volonté de Madame Theresa May qui semble y être opposé.
Dommage car les britanniques ont été trompés par ceux qui soutenaient un "hard Brexit"...l'ex maire de Londres Boris Johnson, Nigel Farage, ancien leader du parti europhobe Ukip, entre-autres.
Le Medef n'a pas grand chose à faire à perdre ainsi son temps, et de se donner des sensations de grande organisation patronale.
Le Brexit a coûté 900 livres à chaque ménage britannique<